Lettre ouverte adressée au chef du parti Québécois, Paul St-Pierre Plamondon

 

From: jean.godbout07@videotron.ca
Sent: Tuesday, April 04, 2023 5:51 AM
To: chef.pspp@assnat.qc.ca ; Paul.St-PierrePlamondon.CALA@assnat.qc.ca
Cc: genevieve.lajoie@quebecormedia.com ; h.tremblay@comdp.gouv.qc.ca


Subject: Est-il légal de falsifier un diagnostic et rendre un travailleur invalide à vie ?

 
Paul St-Pierre Plamondon
Chef du parti Québécois
Député de Camille-Laurin
Parti québécois
Chef du troisième groupe d’opposition
Porte-parole du troisième groupe d’opposition en matière d’administration gouvernementale et pour le Conseil du trésor
Porte-parole du troisième groupe d’opposition en matière de condition féminine
Porte-parole du troisième groupe d’opposition en matière d’économie, d’innovation et d’énergie
Porte-parole du troisième groupe d’opposition en matière de finances
Porte-parole du troisième groupe d’opposition en matière de justice
Porte-parole du troisième groupe d’opposition en matière de lutte contre le racisme
Porte-parole du troisième groupe d’opposition en matière de relations canadiennes et de la francophonie canadienne
Porte-parole du troisième groupe d’opposition pour les Relations avec les Premières Nations et les Inuit


Re : Paul St-Pierre Plamondon dénonce un geste «injuste» et «illégal», cautionné selon lui par le ministre Pierre Fitzgibbon.
https://www.journaldemontreal.com/2023/04/04/ministere-de-leconomie-un-fonctionnaire-dexperience-congedie-en-raison-de-son-role-au-pq


Paul, toi qui dénonce un geste «injuste» et «illégal» pourquoi fermes tu les yeux la falsification «injuste» et «illégale» de mon diagnostic médical commise par la CSST Laval qui m'a frauduleusement rendu invalide à vie avec de graves séquelles neurologiques qui ''passent'' pour un accident de travail au niveau administratif, mais qui sont en fait la conséquence catastrophique de ce crime qui a détruit ma vie il y a environ 30 ans. À titre de porte-parole en matière de justice, tu es ..... absent !

J'ai inclus dans ce courriel le formulaire complété par le fonctionnaire de la CSST Laval Robert Boulerice adressé au médecin arbitre médical (Dr. Louis E. ROY neurologue du BÉM qui a eu la lourde tâche d'arbitrer entre un diagnostic d'entorse lombaire versus une entorse lombaire, ben..... crois le ou pas c'est l'entorse qui a gagné et c'est justement cette fraude ou les dés étaient pipés par l'arnaque commise par le responsable de mon dossier à la CSST Laval qui m'a rendu invalide à vie. Ben là Paul, pourquoi demeures tu silencieux et aveugle ? C'est grave de tolérer ça sans rien dire. Ce fonctionnaire a fait disparaitre, comme par magie, la portion grave du diagnostic déjà reconnu par la CSST, la décision du 2 novembre 1993 ou le diagnostic reconnu de mon médecin traitant, le Dr. Réjean Vanier M.D. c'est écrit ici que le diagnostic est : ''Une entorse lombaire ainsi qu'une hernie discale au niveaux L4-L5 & L5-S1''. https://www.jeangodbout.ca/csst/preuve/1decision.jpg ou sont donc passés les deux hernies dans la rubrique diagnostic du médecin traitant ? Voilà la magie d'un fonctionnaire (Robert Boulerice) qui orchestre une magouille pour ''planter'' un travailleur de ses droits. son crime est réussis, j'en suis invalide à vie, mais on fait passer le tout comme un accident de travail, c'est juste une astuce de l'État bandit pour nier ses propres crimes et écraser la vérité sous terre, depuis 30 ans.

 
Regarde, ce crime de l'État bandit que tu protèges a déjà été exposé par l'émission Enjeux de Radio-Canada, là ou même mon médecin traitant confirmait publiquement à la caméra que son diagnostic médical fut ''FALSIFIÉ'' par la CSST Laval, écoute le : https://jeangodbout.ca/csst/vanier1.mp3  tu peux même regarder les images aussi à : https://www.youtube.com/watch?v=LST8tKkq49w
 

Tu vois, c'est pas moi qui délire, c'est toi qui protège par ton silence le crime organisé du ministère du travail du Québec, le royaume de la magouille qui depuis des décennies vole les Droits des accidentés. Voler de l'argent à un travailleur accidenté c'est une chose, mais détruire sa vie et le rendre invalide à vie par des fraudes ça devient inacceptable.

Par ailleurs, je t'invite à écouter un ancien membre de ton parti, le parti Québécois, M. François Rebello (alors critique officiel en matière de travail) qui a étudié mon dossier et exposé devant l'Assemblée nationale l'arnaque médicale commise par le trio composé par le fonctionnaire Boulerice et de deux médecins de la CSST et du BÉM, Paul Mailhot orthopédiste et le Dr Louis E. Roy neurologue et membre en règle du crime organisé du Bureau d'Évalation Médical (BÉM) ... écoute l'allocution de monsieur Rebello : https://jeangodbout.ca/csst/preuve/francois_rebello_assnat_celection.mp4

En effet, les conclusions de ces deux médecins furent infirmées et renversées en totalité par le bureau de révision de la CSST, mais quatroze mois trop tard alors que les dommages neurologiques graves, importants et irréversibles avaient déjà été occasionné par les diagnostic erronnées des médecins de la CSST et la décision qui s'en suivit pour provoquer un retour illicite au travail https://jeangodbout.ca/csst/conciliation.html

Voici la décision de la CSST laval, alors qu'ils avaient pipés les dés et qu'ils étaient mantenant, les pauvres, obligés par la loi d'appliquer la conclusion du médecin membre du BÉM.... quelle joke (criminelle, illicite et illégale) ! https://www.jeangodbout.ca/csst/preuve/boulerice-coupe-1.jpg  &  https://www.jeangodbout.ca/csst/preuve/boulerice-coupe-2.jpg

Ce n'est pas tout ..... ces trois crimes ont provoqués un retour au travail alors que la preuve démontre que j'avais une double hernie discale fissurée (cette fissure discale ou rupture discale) est une urgence médicale pour une chirurgie qui s'appelle une discoidectomie, le traitement nécessaire dans le cas d'un syndrome de la queue de cheval.

Le HIC, c'est que mon employeur, le négligent criminel Louis Tardif propriétaire de l'atelier d'usinage de pièces d'aviation ''Performance L.T. Inc'' alors que malgré la preuve que j'avais à ce moment une double hernie discale fissurée, m'a forcé pendant deux mois à manipuler et travailler avec des pièces qui pesaient entre 75 et 125 livres, alors qu'il savait que je n'étais pas apte au travail, il l'a écrit, signé et daté. Paul l'avocat tu dois bien savoir que la loi Santé et Sécurité au Travail prévoit qu'un travailleur ne peut légalement soulever plus de 55 livres (ou 25 kilos), mon employeur affirmait sous serment devant le Tribunal du Comité de discipline du Collège des médecins du Québec que j'ai bel et bien soulever et manipuler ces lourds poids, va voir la preuve ici (ou extrait ci-bas) : https://www.jeangodbout.ca/csst/serge-morin-temoigne-cmq.html

INTERROGATOIRE SOUS SERMENT - COLLEGE DES MÉDECINS DU QUÉBEC

4 juin 1996
Cause # 24-96-00384

L'an mil neuf cent quatre-vingt-seize (1996), ce quatrième (4e) jour du mois de juin, a comparu comme témoin en cette cause:
SERGE MORIN, (l'employeur) Province de Québec,
LEQUEL, après avoir donné une affirmation solennelle, dépose et dit ce qui suit:
LE PRÉSIDENT: (Me Guy Lafrance, nommé par le gouvernement)
Allez-y, Monsieur Godbout.
INTERROGÉ PAR M. JEAN GODBOUT, pour la partie plaignante:
Q - Monsieur Morin, suite à mon accident du onze (11) septembre mil neuf cent quatre-vingt-treize (1993), pouvez-vous décrire ma façon de marcher depuis l'accident jusqu'à mon retour au travail, le quatorze (14) mars mil neuf cent quatre-vingt-quatorze (1994)?
R - Sa façon de marcher, ça m'a paru pénible. Il marchait souvent penché par en avant, c'était vraiment...
Q - Est-ce qu'il y avait de la boiterie?
R - Oui.
Q - Suite à mon retour au travail, le quatorze (14) mars, est-ce que je travaillais, j'avais l'air confortable à travailler, est-ce que tout allait bien?
PAR LE PRÉSIDENT: - (intervenant)
Q - Qu'est-ce que vous avez constaté, vous, après le quatorze (14) mars dans son attitude au travail, dans sa démarche?
R - J'ai constaté qu'il avait des difficultés à travailler.
PAR M. JEAN GODBOUT: - (cont. l'int.) -
Q - Est-ce que vous m'avez déjà vu la larme à l'oeil, tellement j'avais de la douleur?
R - Oui.
Q - Est-ce que je vous ai mentionné à quelques reprises qu'en période de repos, au "break" de dix minutes, que si j'avais le malheur de m'asseoir, je bloquais et je n'étais plus capable de me relever?
R - On a discuté de ça, oui, je me rappelle, effectivement.
PAR LE PRÉSIDENT: - (intervenant) -
Q - Il vous a dit ça de quelle façon?
R - J'essaie de me rappeler vraiment le détail des paroles.
Q - C'est parce que là, Monsieur Godbout vous donne un peu je dirais même les réponses. Habituellement, dans les questions que l'on doit poser, on ne doit pas être aussi subjectif que ça. Il appartient au témoin de nous décrire la situation et non pas de lui décrire de façon à ce qu'il nous dise oui. J'aimerais que vous soyez en mesure, vous, de nous décrire ce que vous vous rappelez, ce que vous visualisez?
R - D'accord. Moi, j'ai vu Monsieur Godbout, lorsqu'il est revenu au travail, qu'il se trouvait dans une position difficile physiquement pour effectuer le travail qu'on lui demandait. Il était souvent courbé, il boitait. Une chose qu'il faisait souvent, il s'adossait sur la table de travail, il s'allongeait" comme ça, là. Ça, j'ai remarqué ça aussi.
A l'occasion, j'allais le voir et je lui disais es-tu correct? Il dit ça pourrait être mieux, mais qu'est-ce que tu veux, il faut que je gagne ma vie. C'est une réponse que j'ai eue souvent. J'ai constaté ça.
LE PRÉSIDENT:
Ça va. D'autres questions?
PAR M. JEAN GODBOUT: - (cont. l'int.) -
oui.
Q - Est-ce que je vous avais demandé de peser les pièces que j'ai eu à effectuer?
R - Oui. J'ai fait, justement sur certains items sur lesquels Jean Godbout a travaillé, j'ai pris les poids de deux "fixtures" entre autres, plus une "fixture" pour souder... La "fixture" pour souder, ça totalise, une fois assemblée évidemment, trois cent soixante-neuf (369) livres, et puis les deux "fixtures" qui servent à fabriquer certaines pièces, il y en a une qui pèse soixante-quinze (75) livres, l'autre cent vingt-cinq (125), (57 kilos). Ce sont des choses qui m'ont été demandées sur le subpoena. Alors, j'ai pris ça. J'ai vérifié, moi, j'ai fait sortir les cartes de temps, pour référer vraiment à des choses qu'il avait vraiment fabriquées, puis j'ai fait peser ça.
PAR LE PRÉSIDENT: - (intervenant) -
Q - C'est quoi, ces morceaux-là?
R - Ce sont des "fixtures" pour tenir les pièces que l'on doit fabriquer, on appelle ça en jargon du "tooling".
PAR Dr YVES DAGENAIS:
Q - Ce sont des choses qu'il doit manipuler chaque fois qu'il fait une pièce ou quoi?
R - Non, lui, il était dans le département, il fabriquait une "fixture". Autrement dit, il va fabriquer disons le support qui tient le micro qui est là.
Q - oui?
R - Bien, il faut le fabriquer et ce sont des choses qu'on appelle des valves, des barres en "stainless"; ça fait que ce sont des grosses plinthes (sic; "plates") en acier. C'est une base à peu près comme ça, ça d'épais, montée sur le côté. C'est assez ...
PAR LE PRÉSIDENT:
Donc, lui, ce qu'il avait à déplacer ce sont les morceaux d'acier qui, eux, pesaient soixante (60), soixante-quinze (75) livres?
M. JEAN GODBOUT:
Oui cent vingt-cinq (125) livres.
LE PRÉSIDENT:
Attendez.
LE TÉMOIN:
R - C'est ça, exactement.
PAR LE PRÉSIDENT:
Q - Et la "fixture", une fois assemblée, pouvait peser jusqu'à trois cent soixante-neuf (369)?
R - oui, il y a certaines 'fixtures", oui. Une entre autres la "fixture" de soudure. Je dis bien assemblée. Il n'a peut-être pas lever carrément la "fixture" au complet. Il y a certaines composantes qui peuvent aller à cinquante (50), soixante-quinze (75) livres qu'il a dû déplacer, effectivement.
Q - Très bien. Ça, il le faisait?
R - Oui.
PAR M. JEAN GODBOUT: - (cont. l'int.) -
Q - Une dernière question. J'aimerais savoir à l'époque, en mil neuf cent quatre-vingt-quatorze (1994), si j'avais un "chain block" à ma disposition pour lever ces pièces là?
R - Non.
LE PRÉSIDENT:
Ça va?
M. JEAN GODBOUT:
Avec Monsieur Morin, ça va.
LE PRÉSIDENT:
Maître Frère, avez-vous des questions à poser?
Me PHILIPPE FRERE:
Non, Monsieur le président.
LE PRÉSIDENT:
Questions? Questions? Merci, Monsieur Morin. On peut libérer le témoin?
Vous êtes libre de nous quitter ou de demeurer avec nous, c'est votre choix.
LE TÉMOIN:
Je vais attendre, on est tous ensemble.
LE PRÉSIDENT:
Vous pouvez rester dans la salle, si vous voulez aussi. Sentez-vous bien à l'aise.
Prochain témoin.
M. JEAN GODBOUT:
Rosaire Lacroix.
ET LE TÉMOIN NE DIT RIEN DE PLUS
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Je soussignée THÉRESE DE LAMARCHE, sténographe officielle, dûment assermentée comme telle, certifie sous mon serment d'office que la déposition qui précède est la transcription fidèle et exacte de mes notes, recueillies au moyen de la sténotypie, et ce conformément à la loi.



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Manifestement l'employeur a violé la loi, non seulement la loi SST, mais aussi commit une négligence criminelle, il l'avoue, il le confirme sous serment.... mais le lieutenant détective corrompu de la Police de Laval David Tardif (Matricule 855) ne voit pas de négligence criminelle, malgré le fait que l'employeur savait et connaissait ma condition, avoue que je n'avais pas d'aide au levage comme un palan, de surcroit, la juge Hélène Poulin j.c.s vient rajoutée que l'employeur savait et a été avisé par des documents médicaux que deux médecins spécialistes m'avaient émit de sévères limitations fonctionnelles.

''63. En effet, en mars 1994, quand il reprend ses fonctions, c'est son employeur «Performance LT inc.» qui omet de limiter la pesanteur des charges qu'il doit soulever, limite pourtant prescrite par les docteurs Marcel MORAND, physiatre, et Nicholas NEWMAN, chirurgien-orthopédiste''.
l'Honorable juge Hélène POULIN j.c.s. Cause no : 500-05-026039-964 - 28 juin 2002

Sans compter qu'un autre juge, l'honorable Benoît Émery j.c.s confirme que le retour prématuré au travail (j'avais besoin d'une chirurgie d'urgence) a provoqué une détérioration significative de ma lésion initiale et que l'aggravation est même déjà reconnu par la CSST.
https://www.jeangodbout.ca/csst/preuve/commissaire-berube-admets.jpg
Je ne connais personne qui est déclaré invalide à vie avec juste une double hernie discale comme diagnostic, c'est le deuxième événement accidentel (appelé administrativement une ''aggravation''), six mois plus tard, lorsque j'ai été forcé de reprendre mon travail sans limitations fonctionnelles, ni atteinte permanente alors que j'ai été faussement déclaré :''Guéri et apte au travail'' par l'arnaque même commise par le fonctionnaire Robert Boulerice.
C'est là qu'entre en jeu la dernière scène, là ou mon employeur me fait soulever illégalement des poids de 75 à 125 livres pendant deux mois (du 14 mars 1994 au premier juin 1994) avec une double hernie discale fissurées ... Paul, Paul, Paul, tu dors quoi ? Paul, est-ce que tu aimes ça voir ces crimes, fraudes, magouilles sous tes yeux, arnaques qui m'ont criminellement rendu invalide à vie ? Hé, justice où est tu ? Je te cherche en vain depuis 30 ans, je n'ai trouvé que la collusion, la corruption, voir même la prostitution intellectuelle des autorités, Tsé, la province la plus corrompue au Canada, c'est encore vrai en 2023.


Obligation de la personne qui supervise un travail


art. 217, C.cr Il incombe à quiconque dirige l’accomplissement d’un travail ou l’exécution d’une tâche ou est habilité à le faire
de prendre les mesures voulues pour éviter qu’il n’en résulte de blessure corporelle pour autrui.
2003, ch. 21, art. 3


« l'employeur (Louis Tardif président de Performance L.T. Inc.) s'est écartée de la norme de diligence qu'il aurait été raisonnable d'adopter » ce qui en fait un crime de négligence criminelle entraînant des lésions corporelles graves et permanentes, même si la police politique corrompue de la Police de Laval le nie ... - https://jeangodbout.ca/csst/police_de_Laval_corrompue.html - Une police qui pardonne, qui a zéro éthique, aucune déontologie, aucune morale, aucun respect des lois et de la Charte Québécoise mais qui est 100% fidèle au crime organisé du ministère du travail du Québec.

Sera reconnu coupable de négligence criminelle celui qui « en faisant quelque chose ou en omettant de faire quelque chose qu’il est son devoir d’accomplir montre une insouciance déréglée ou téméraire à l’égard de la vie ou de la sécurité d’autrui » art. 219, C.cr.). Il est à noter que la mort ou une blessure corporelle doit résulter de ce comportement négligent.

C'est bien le cas. Comme par exemple : obliger un travailleur à soulever et manipuler des poids de plus de deux fois la limite légale et le rendre invalide à vie sachant qu'il est est inapte au travail ! Selon le policier de ville de Laval David Tardif (matricule 855) ceci est 100% légal, le pauvre employeur a vendu sa compagnie donc il n'est plus responsable de ses crimes, voilà ce que m'écrit, le plus sérieusement du monde, le lieutenant détective de Laval matricule 855 David Tardif.

Paul tu acceptes l'inacceptable, tu fermes les yeux sur des violations de lois, en plus, par ton silence tu te fais un complice de la violation des mes Droits fondamentaux et encore pire, tu maintiens un système mafieux et criminel qui détruit des vies et des familles, là sous tes yeux qui ne veulent voir.

Sans procès, je suis condamné à vivre le reste de ma vie avec une grave invalidité créée par ''un accident de travail''. Rien de plus la police de Laval le dit, donc ça doit être vraie, vive la police qui sert et protège les fonctionnaires criminels, les médecins criminels et mon employeur criminel. Puis on appelle ça un État de Droit .... HiHi  Hé ... Paul, il y a ici quatre crimes violents.


Jean Godbout
https://jeangodbout.ca

 
« La violence, l'injustice, les traitements cruels et inhumains n'ont aucune excuse. »

Définition légale des traitements cruels et inhumains :
''aucun but spécifique, degré élevé de la souffrance ou de la douleur infligée''
Source : https://www.icrc.org/fr/doc/resources/documents/misc/69vhm2.htm
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P.S. Paul, tu ne pourras pas dire que tu ne le savais pas !
Https://jeangodbout.ca/csst/lettre-ouverte-paul-st-pierre-plamondon.html

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La CSST avait accepté le diagnostic émit par mon médecin traitant d'entorse lombaire avec une double hernie discale en L4-L5 & L5-S1
Pourtant, dans cette requête adressée au membre du Bureau d'Évaluation Médical (BÉM) la portion grave du diagnostic a complètement disparue.
Juridiquement on demande faussement au BÉM d'arbitrer un diagnostic d'entorse lombaire versus une entorse lombaire, ben .... c'est l'entorse lombaire qui a ''gagné'' !!!!!
Le fonctionnaire de la CSST Laval Robert Boulerice a falsifié le diagnostic, je le rappelle, de double hernie acceptées par décision.

 

 





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