Dr méd. Ralph T. Schär, Prof. Dr méd. Claudio
Pollo, Dr méd. Christian T. Ulrich, Prof. Dr méd. Andreas Raabe
Universitätsklinik für Neurochirurgie, Inselspital, Bern SWISS MEDICAL FORUM – FORUM MÉDICAL SUISSE
2019;19(27–28):449–454
''Le syndrome de la queue de cheval est une
affection neurologique très rare, mais grave.
Un diagnostic et un traitement précoces sont essentiels pour prévenir des
troubles fonctionnels graves et permanents. Le SQC est très rare, mais il s’agit
d’une urgence neurochirurgicale. Un retard de diagnostic et de traitement
est associé à un risque accru de déficits neurologiques graves persistants.
• Les principales caractéristiques du SQC sont la survenue bilatérale des
symptômes, qui sont uniquement unilatéraux en cas de hernie discale,
ainsi que les troubles fonctionnels vésicaux, rectaux et sexuels avec
anesthésie en selle, qu’il convient également de rechercher.
Près de la moitié de tous les patients opérés souffrent encore après des
années de troubles fonctionnels des racines nerveuses sacrées.
Une opération la plus précoce possible semble être associée à un meilleur
pronostic et à moins de déficits neurologiques persistants.
• Tous les patients avec hernies discales lombaires connues devraient être
informés des symptômes d’alerte d’un SQC et y être sensibilisés,
car une consultation rapide du médecin est déterminante pour éviter les
retards dans la pose du diagnostic'' ... Forum Médical Suisse.
Mon médecin traitant, le Dr. Réjean Vanier avait disgnostiqué (à deux
reprises) une sciatalgie bilatérale (page
1 & page 2) et
ici,
mon agent de la CSST Laval Robert Boulerice a vite fait de faire
''disparaître'' comme par ''magie'' ce
DRAPEAU ROUGE de bilatéralité.
Même chose avec le diagnostique du Dr.
Marcel Morand physiatre (17 février 1994) qui moins d'un mois avant le
retour au travail fatidique du 14 mars 1994 au premier juin 1994,
portait un diagnostique de Lombo Scitalgie Bilatérale, avec
blocage rachidien, CT-Scan positif (double hernie), mise en tension
radiculaire positive bilatéralement,
Robert Boulerice a tout ''disparaître'' ce diagnostique de
bilatéralité. Le Dr. Morand ajoutait même qu'il ne trouvait pas de
signe d'atteinet neurologique;
on entends par signe d'atteinte neurologique un problème d'incontinence
urinaire, fécale et atteinte aux organes génitaux.
Le 14 mars 1994, forcé par la décision de la CSST qui me déclarait
illicitement : ''Guéri et apte au travail''
j'ai été forcé de reprendre mon travail de machiniste à manipuler des poids
allant de 75 à 125 livres,
la preuve de ça ... c'est le témoignage
sous serment du vice-président de Performance L.T. Inc. (M. Serge Morin)
au Collège des médecins
ou il confirme qu'il m'a fait manipuler travailler avec des pièces qui
pesaient jusqu'à 125 livres (57 kilos) plus de deux fois la limite légale
pour un travailleur en santé.
Dès ma première semaine de travail du 14 mars 1994, avec cette courbure
rachidienne anormale...
je revenais à la maison après mon travail les
culottes mouillés d'urine et c'est à ce moment que fus dirigé en
neurochirurgie
et pris en charge par le Dr. Robert Lefrançois F.R.C.S. attaché à l'Hôpital
du Sacré-Coeur de Montréal qui finalement le 30 janvier 1995
(avec 10 mois de retard à l'égard du drapeau rouge d'une atteinte
neurologique)
pratiquait une discoïdectomie (chirurgie décompressive des nerfs sacrés
comprimés par les deux hernies rupturées (page
1 & page 2)
Le protocole opératoire : page 1 &
page 2.
Il est donc plus qu'évident que le retard causé par la contestation de mes
hernies par la fraude du fonctionnaire Robert boulerice,
la complaisance des médecins de la CSST et du BÉM et la violation de la loi
par mon employeur ont provoqués une
aggravation considérable de ma condition initiale,
fraudes qui m'ont rendu invalide à
vie alors qu'on aurait pu me ''sauver'' d'une atteinte aussi grave,
sévère et incurable.
Je l'affirme à qui veut bien l'entendre sans être dans un profond déni des
faits et preuves, manipuler des poids de 75 à 125 livres,
pendant deux mois, avec des nerfs sacrés compressés par une double hernie
rupturée fut une scéance de torture qui a détruite ma vie,
ma santé, et mon intégrité physique.
Mais la Charte des Droits de la personne n'est que du vulgaire papier cul
pour les bandits criminels de la CSST-CNESST et du ministère du travail du
Québec.