Une vraie rencontre, une
rencontre décisive, c'est quelque chose qui ressemble au destin.
Citation de Tahar Ben Jelloun
Comme elle ne peut retrouver l'adresse ou le téléphone de l'employeur;
elle en profite pour nier et cacher le crime de Robert Boulerice
fonctionnaire de la CSST qui a falsifié mon diagnostique médical en
commettant un crime de négligence criminelle;
elle en profite pour nier et cacher que les deux médecins corrompus de la
CSST ont produites de fausses expertises médicale;
elle en profite pour protéger un employeur qui a manifestement violer la loi
et commit un autre crime de négligence criminelle;
elle en profite pour protéger une bande de mafieux criminels qui ont détruit ma
vie;
elle est assurément une complice criminelle des crimes et fraudes de la
CNESST;
elle adore la torture et détruire des vies, elle bafoue la Charte des Droits
de la personne du Québec !
Elle se prends pour Benjamin Netanyahu qui adore mépriser la vie humaine.
Voilà pourquoi le Québec est encore et toujours la province la plus
corrompue au Canada !
La justice au Canada c'est de la vulgaire prostitution.
_____________________________________________________________
Chère Isabelle Bourcier (mise à jour 22
octobre 2024) Chère corrompue de la CNESST
Regarde c'est si facile de rejoindre Louis Tardif, mais il faut juste la
volonté de le faire,
toi tu préfères cacher les fraudes de ton employeur (donc tu es une complice
criminelle des crimes de la CNESST)
Regarde cet article de presse :
https://www.journaldemontreal.com/2018/03/27/ca-et-la-de-floride
Mamade Isabelle Bourcier ... comme me le demandait fréquemment mon employeur :
''es-tu correct ?''. Ben non je ne suis pas correct, je suis en train de
paralysé ... là devant tes yeux !
Louis Tardif est un grand ami de Coco depuis toujours ! (Coco = Jacques
Lemaire)
Tu n'a qu'a téléphonner au Canadien de Montréal
Tu demandes le numéro de téléphone de Jacques Lemaire
Tu téléphonnes à Jacques Lemaire
Tu lui demandes le numéro de téléphonne de Louis Tardif.
Tellement facile à faire, faut juste de la volonté!
Pauvre Isabelle Bourcier, tu manques d'imagination !
Par ailleurs, c'est certain que c'est le bon ''Louis Tardif''.
Mon employeur Louis Tardif possède une bague de la coupe Stanley
et j'ai même répondu au téléphonne une foi et c'était Jacques Lemaire qui
demandait à parler à Louis Tardif.
Soyons sérieux, tu es là pour camoufler le crime de torture qui m'a rendu
invalide à vie
Tu es au service de crime organisé de la CNESST
Tu es une avocate corrompue complice de torture !
Tu es une complice criminelle de la CNESST, de ses médecins et de mon
employeur !
Tu me voles mes Droits, donc tu es une avocate voleuse ! (encore une autre
:-)
Article No 12 de la Charte des Droits de la personne du Canada
12. Chacun a droit à la protection contre tous traitements ou peines cruels
et inusités.
L’alinéa 2b) de la Déclaration canadienne des droits est une
disposition semblable.
L’article 7 de la Charte comprend un principe apparenté qui interdit des
restrictions exagérément disproportionnées du droit à la vie, à la liberté
et à la sécurité de sa personne
(Canada (Procureur général) c. Bedford,
[2013] R.C.S. 1101, aux paragraphes 120 à 122)
Ben oui, c'était disproportionné de me faire manipuler des poids de 75 à 125
livres avec une double hernie discale et un blocage rachidien.
N'en déplaise à sa Majestée Isabelle Bourcier qui adore détruire des vies
par des crimes violents .... pauvre criminelle corrompue !
Article No 1 de la Charte
québécoise : Tout être humain a droit à la vie, ainsi qu’à
la sûreté, à l’intégrité et à la liberté de sa personne.
Article No 2 de la Charte
québécoise : Tout être humain dont la vie est en péril a droit au
secours.
46. Toute personne qui travaille a droit, conformément à la loi, à des
conditions de travail justes et raisonnables
et qui respectent sa santé, sa sécurité et
son intégrité physique.
--------------------------------------------------
Regarde Isabelle Bourcier, ça fait trente ans que la CNESST me vole
...
tu maintiens le rythme, n'est-ce pas ?
18 septembre 2024
ANNEXE - PLAINTE EN VERTU DE LA LATMP ART. 32
Je déclare avoir été
illégalement l'objet de représailles et de mesures discriminatoires qui
violent mon droit fondamental prévu à l'article No 1 de la Charte des Droits
de la personne du Québec. Ces représailles m'ont frauduleusement rendu
invalide à vie me causant un sévère Syndrome de la Queue de Cheval (SQC),
une fibrose péridurale, un arachnoïdite et un cancer de la vessie et de la
prostate organes qui ont été amputées.
Le 11 septembre 1993, en soulevant un étau de 47
livres, mes deux disques intervertébraux en L4-L5 & L5-S1 se sont rupturées
par de nombreuses fissures annulaires causant une sciatalgie bilatérale dès
le premier jour de l'accident, mais aucun dommage neurologique à la vessie,
à l'Intestin et aux organes génitaux pour les six premier mois de prise en
charge par mon médecin traitant, le Dr. Réjean Vanier de la Polyclinique
Médicale Concorde à Laval jusqu'au retour au travail le 14 mars 1994 suite à
l'opinion du Dr. Louis E. Roy neurologue et membre du Bureau d'évaluation
médical qui a nié la double hernie discale. Toutefois son opinion erroné a
été renversé et infirmé en totalité par le Bureau de Révision (BR) de la
CSST Laval en avril 1995 portant le numéro : BR 61622017 qui a reconnu que
mon médecin traitant avait vu juste en diagnostiquant une double hernie
discale puisque ces deux hernies ont été opérées en neurochirurgie par le
Dr. Robert Lefrançois le 30 janvier 1995 alors qu'il a effectué une
discoïdectomie des deux niveaux impliqués. On le sais tous, la
discoïdectomie est le traitement médical pour un Syndrome de la queue de
cheval.
Privé de mes Droits par l'opinion du membre du
BÉM qui lie légalement la CSST à sa conclusion
et comme je n'avais plus de remplacement
du revenu, j'ai été forcé de reprendre mon travail chez mon employeur
Performance L.T. Inc.
Les
représailles et mesures discriminatoires :
Le président directeur général et actionnaire
principal de sa compagnie, Louis Tardif, savait fort bien qu'en vertu de la
loi LATMP ou la LSST qu'il ne pouvait me congédié pendant deux années
suivant cette lésion professionnelle du 11 septembre 1993 et que je l'ai
obligé en invoquant la loi de me redonner mon travail de machiniste (sinon
je faisais faillite, je perdais mon auto sur la finance, je perdais aussi
mon logement et je me devenais un sans-abri etc... )
il était très en colère d'être imputé de
cet accident qui faisait augmenté ses cotisations pour tous les travailleurs
de son atelier d'usinage en aéronautique (environ 47 employés à cette
époque) il a choisit comme mesures de représailles et discriminatoires de me
faire travailler avec de lourds objets, espérant que je quitte sa compagnie
de mon propre gré.
J'inclus dans mon annexe
l'interrogatoire sous serment effectué au Tribunal du CMQ. Devant le
Tribunal du Comité de discipline du Collège des médecins du Québec, là ou
j'avais porté plainte contre le médecin de la CSST Dr. Paul Mailhot
orthopédiste et le médecin du BÉM le Dr. Louis E. Roy neurologue pour leur
conclusion erronées et infirmées, le vice-président exécutif M. Serge Morin
invité à témoigner par subpoena ainsi que M. Rosaire Lacroix, mon supérieur
immédiat, il a été clairement dit sous serment que pendant ces deux mois +
de travail (du 14 mars 1994 au premier juin 1994) que j'ai été forcé par la
décision de M. Louis Tardif de travailler avec des poids allant de 75 à 125
livres, puisqu'il voulait que je quitte mon emploie définitivement.
Il y a là une violation évidente de la loi
qui dit qu'un travailleur en santé
ne doit pas manipuler ou soulever des
poids de plus de 25 kilos (ou 55 livres) alors que la preuve démontre
clairement que j'avais une double rupture discale nécessitant une chirurgie
d'urgence.
Personnellement, pour l'avoir vécu et
enduré, le traumatisme que j'ai subi est l'égal d'une crime de torture, même
si légalement il s'agit de traitements cruels et inhumains inusités
contraire à la Charte des droits de la personne, le résultat étant le même,
cette violation de la loi m'a causé un dommage irréversible à la moelle
épinière causant le syndrome de la queue de cheval et les dommages
neurologiques associés à la vessie, aux organes génitaux et à l'intestin,
trouble neurologiques graves aux organes vitaux. Qui dit vital dit
nécessaire à la vie, donc ses représailles et ses mesures discriminatoires
ont portés une atteinte grave à ma vie, à ma santé, à ma sécurité et à mon
intégrité physique.
Lorsqu'un employeur viole la loi (LATMP et LSST)
c'est le mandat de la CSST-CNESST d'émettre un constat d'infraction à cet
employeur, M. Louis Tardif, d'ou la présente plainte en vertu le la LATMP
Art.32 et LSST Art.227.
De plus encore, M. Serge Morin venait fréquemment
à ma rencontre et me demandait :
''es-tu
correct'' je lui répondais que non,
mais que j'avais besoin d'un salaire pour survivre et ne pas faire faillite
... donc il savait que je n'allais pas bien et il l'a fait quand même,
facteur aggravant qui constitue aussi un crime de grossière négligence
criminelle (mais ça, ça regarde la cour criminelle). Et ce sans compter
qu'il affirme aussi que je n'avais pas
accès à un palan pour soulever les
poids supérieurs à ce que prévoit la loi qui origine de la norme
Internationale ISO 11228-1. Document inclus.
''63.
En effet, en mars 1994, quand il
reprend ses fonctions,
c'est son employeur «Performance LT inc.» qui omet de limiter la pesanteur
des charges qu'il doit soulever,
limite pourtant prescrite par les docteurs Marcel MORAND, physiatre, et
Nicholas NEWMAN, chirurgien-orthopédiste''.
l'Honorable juge Hélène POULIN j.c.s.
Cause no : 500-05-026039-964 - 28 juin
2002
Quelques jours avant que je sois forcé de
reprendre mon travail le 14 mars 1994, le 17 février 1994 le Dr. Marcel
Morand physiatre écrivait dans son rapport que je n'avais pas de déficits
neurologique à la vessie, à l'intestin ou aux organes génitaux. (Document
joint).
Puis dès ma première semaine de travail à
manipuler et soulever des poids de 75 à 125 livres, je suis devenu
incontinent urinaire puis fécal par la suite, je fus référé rapidement en
neurochirurgie et pris en charge par le Dr. Robert Lefrançois attaché à
l'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal qui m'a finalement opéré d'une
discoïdectomie
le 30 janvier 1995 suite à des examens de
laboratoire, résonnance magnétique, myélographie, discographie, EMG etc...
Le constat est clair, durant les premier six mois
suite à l'accident initial, les problèmes neurologiques n'existaient pas
encore à la vessie, à l'intestin et aux organes génitaux, ainsi qu'une
paraparesthésie au jambes et suite aux représailles de l'employeur et ses
mesures discriminatoires de me faire travailler avec des poids excédant la
limite légale de plus du double de la limite légale, est apparue le Syndrome
de la queue de cheval dont la gravité n'est plus à prouver, l'invalidité
permanente à vie est le résultat de cette négligence ce qui est déjà reconnu
par la CSST-CNESST.
Donc, sans ces
représailles illicites de M. Louis Tardif, j'aurais pu être sauvé d'une
invalidité permanente si on m'avait opéré plutôt que de me forcer à
reprendre mon travail, tout ça grâce à la falsification de mon diagnostique
médical par le fonctionnaire responsable de mon dossier à l'époque Robert
Boulerice qui a fait ''disparaître'' la mention de
double hernie discale,
la portion grave du diagnostique qui était déjà accepté lors de la toute
première décision administrative de la CSST Laval ce qui a eu comme effet de
demander au BÉM si j'avais une entorse lombaire ou une entorse lombaire ....
bien sûr qu'il a répondu une entorse lombaire, les dés étaient pipés
d'avance par la falsification de mon diagnostique médical. Quelle arnaque de
ce bandit de la CSST Laval qui le grand responsable de ce crime.
Jean GODBOUT
18 septembre 2024.
IMPORTANT
J'ai aussi inclus le témoignage de M. Serge
Morin, vive président exécutif, et de mon supérieur immédiat
M. Rosaire Lacroix, tous deux sous serment, au Collège des médecins du
Québec.
Tribunal du
Comité de discipline du Collège des médecins du Québec
INTERROGATOIRE SOUS SERMENT
4 juin 1996
Cause # 24-96-00384
L'an mil neuf cent quatre-vingt-seize (1996), ce quatrième (4e) jour du mois
de juin, a comparu comme témoin en cette cause:
SERGE MORIN, (l'employeur) Province de Québec,
LEQUEL, après avoir donné une affirmation solennelle, dépose et dit ce qui
suit:
LE PRÉSIDENT: (Me Guy Lafrance, nommé par le gouvernement)
Allez-y, Monsieur Godbout.
INTERROGÉ PAR M. JEAN GODBOUT, pour la partie plaignante:
Q - Monsieur Morin, suite à mon accident du onze (11) septembre mil neuf
cent quatre-vingt-treize (1993), pouvez-vous décrire ma façon de marcher
depuis l'accident jusqu'à mon retour au travail, le quatorze (14) mars mil
neuf cent quatre-vingt-quatorze (1994)?
R - Sa façon de marcher, ça m'a paru pénible. Il marchait souvent penché par
en avant, c'était vraiment...
Q - Est-ce qu'il y avait de la boiterie?
R - Oui.
Q - Suite à mon retour au travail, le quatorze (14) mars, est-ce que je
travaillais, j'avais l'air confortable à travailler, est-ce que tout allait
bien?
PAR LE PRÉSIDENT: - (intervenant)
Q - Qu'est-ce que vous avez constaté, vous, après le quatorze (14) mars dans
son attitude au travail, dans sa démarche?
R - J'ai constaté qu'il avait des difficultés à travailler.
PAR M. JEAN GODBOUT: - (cont. l'int.) -
Q - Est-ce que vous m'avez déjà vu la larme à l'oeil, tellement
j'avais de la douleur?
R - Oui.
Q - Est-ce que je vous ai mentionné à quelques reprises qu'en
période de repos, au "break" de dix minutes, que si j'avais le malheur de
m'asseoir, je bloquais et je n'étais plus capable de me relever?
R - On a discuté de ça, oui, je me rappelle, effectivement.
PAR LE PRÉSIDENT: - (intervenant) -
Q - Il vous a dit ça de quelle façon?
R - J'essaie de me rappeler vraiment le détail des paroles.
Q - C'est parce que là, Monsieur Godbout vous donne un peu je dirais même
les réponses. Habituellement, dans les questions que l'on doit poser, on ne
doit pas être aussi subjectif que ça. Il appartient au témoin de nous
décrire la situation et non pas de lui décrire de façon à ce qu'il nous dise
oui. J'aimerais que vous soyez en mesure, vous, de nous décrire ce que vous
vous rappelez, ce que vous visualisez?
R - D'accord. Moi, j'ai vu Monsieur Godbout, lorsqu'il est revenu au
travail, qu'il se trouvait dans une position difficile physiquement pour
effectuer le travail qu'on lui demandait. Il était souvent courbé, il
boitait. Une chose qu'il faisait souvent, il s'adossait sur la table de
travail, il s'allongeait" comme ça, là. Ça, j'ai remarqué ça aussi.
A l'occasion, j'allais le voir et je lui disais es-tu correct?
Il dit ça pourrait être mieux, mais qu'est-ce que tu veux, il faut que je
gagne ma vie. C'est une réponse que j'ai eue souvent. J'ai constaté ça.
LE PRÉSIDENT:
Ça va. D'autres questions?
PAR M. JEAN GODBOUT: - (cont. l'int.) -
oui.
Q - Est-ce que je vous avais demandé de peser les pièces que j'ai eu
à effectuer?
R - Oui. J'ai fait, justement sur certains items sur lesquels Jean Godbout a
travaillé, j'ai pris les poids de deux "fixtures" entre autres, plus une
"fixture" pour souder... La "fixture" pour souder, ça totalise, une fois
assemblée évidemment, trois cent soixante-neuf (369) livres, et puis les
deux "fixtures" qui servent à fabriquer certaines pièces, il y en a une qui
pèse soixante-quinze (75) livres, l'autre cent
vingt-cinq (125), (57 kilos). Ce sont des choses qui m'ont été
demandées sur le subpoena. Alors, j'ai pris ça. J'ai vérifié, moi, j'ai fait
sortir les cartes de temps, pour référer vraiment à des choses qu'il avait
vraiment fabriquées, puis j'ai fait peser ça.
PAR LE PRÉSIDENT: - (intervenant) -
Q - C'est quoi, ces morceaux-là?
R - Ce sont des "fixtures" pour tenir les pièces que l'on doit fabriquer, on
appelle ça en jargon du "tooling".
PAR Dr YVES DAGENAIS:
Q - Ce sont des choses qu'il doit manipuler chaque fois qu'il fait une pièce
ou quoi?
R - Non, lui, il était dans le département, il fabriquait une "fixture".
Autrement dit, il va fabriquer disons le support qui tient le micro qui est
là.
Q - oui?
R - Bien, il faut le fabriquer et ce sont des choses qu'on appelle des
valves, des barres en "stainless"; ça fait que ce sont des grosses plinthes
(sic; "plates") en acier. C'est une base à peu près comme ça, ça d'épais,
montée sur le côté. C'est assez ...
PAR LE PRÉSIDENT:
Donc, lui, ce qu'il avait à déplacer ce sont les morceaux d'acier qui, eux,
pesaient soixante (60), soixante-quinze (75) livres?
M. JEAN GODBOUT:
Oui cent vingt-cinq (125) livres.
LE PRÉSIDENT:
Attendez.
LE TÉMOIN:
R - C'est ça, exactement.
PAR LE PRÉSIDENT:
Q - Et la "fixture", une fois assemblée, pouvait peser jusqu'à trois cent
soixante-neuf (369)?
R - oui, il y a certaines 'fixtures", oui. Une entre autres la "fixture" de
soudure. Je dis bien assemblée. Il n'a peut-être pas lever carrément la
"fixture" au complet. Il y a certaines composantes qui peuvent aller à
cinquante (50), soixante-quinze (75) livres qu'il a dû déplacer,
effectivement.
Q - Très bien. Ça, il le faisait?
R - Oui.
PAR M. JEAN GODBOUT: - (cont. l'int.) -
Q - Une dernière question. J'aimerais savoir à l'époque, en mil neuf
cent quatre-vingt-quatorze (1994), si j'avais un "chain block" à ma
disposition pour lever ces pièces là?
R - Non.
LE PRÉSIDENT:
Ça va?
M. JEAN GODBOUT:
Avec Monsieur Morin, ça va.
LE PRÉSIDENT:
Maître Frère, avez-vous des questions à poser?
Me PHILIPPE FRERE:
Non, Monsieur le président.
LE PRÉSIDENT:
Questions? Questions? Merci, Monsieur Morin. On peut libérer le témoin?
Vous êtes libre de nous quitter ou de demeurer avec nous, c'est votre choix.
LE TÉMOIN:
Je vais attendre, on est tous ensemble.
LE PRÉSIDENT:
Vous pouvez rester dans la salle, si vous voulez aussi. Sentez-vous bien à
l'aise.
Prochain témoin.
M. JEAN GODBOUT:
Rosaire Lacroix.
ET LE TÉMOIN NE DIT RIEN DE PLUS
_____________________________________
Je soussignée THÉRESE DE LAMARCHE, sténographe officielle, dûment
assermentée comme telle, certifie sous mon serment d'office que la
déposition qui précède est la transcription fidèle et exacte de mes notes,
recueillies au moyen de la sténotypie, et ce conformément à la loi.
ET J'AI SIGNÉ:
L'an mil neuf cent quatre-vingt-seize (1996) quatrième (4e) jour du mois de
juin, a comparu comme témoin en cette cause:
ROSAIRE LACROIX, Laval, Province de Québec;
LEQUEL, après avoir donné une affirmation solennelle, dépose et dit ce qui
suit:
INTERROGÉ PAR M. JEAN GODBOUT, pour la partie plaignante:
Q - Monsieur Lacroix, vous étiez mon supérieur immédiat?
R - Oui.
Q - Là, je parle au quatorze (14) mars mil neuf cent quatre-vingt-quatorze
(1994), lorsque je suis retourné au travail, étiez-vous constamment à mes
côtés, à la journée longue?
R - Oui.
Q - Suite à mon retour, à partir du quatorze (14) mars jusqu'au trois (3)
juin, est-ce que vous avez remarqué... (int.)
PAR LE PRÉSIDENT: - (intervenant) -
Q - Décrivez-nous l'état de Monsieur Godbout, à son retour au
travail, le quatorze (14) mars mil neuf cent quatre-vingt-quatorze (1994)?
R - Son état était assez sérieux.
Q - Dites-nous ce que vous voyiez?
R - Disons pour se changer de place, il se tenait après les tables, parce
qu'il ne pouvait pas, il avait trop mal dans le dos, il ne pouvait
pas se tenir debout quasiment. Moi, je disais à Monsieur Godbout,
c'est pas des farces. Bien il dit qu'est-ce que tu veux, ils m'ont retourné
au travail.
Q - C'était pénible pour Monsieur Godbout. C'était pénible, parce que vous
dites, vous le voyiez se tenir après les tables. Ensuite, il faisait quoi à
part ça?
R - Bien il travaillait, le travail que je lui donnais à faire.
Q - Est-ce que vous lui donniez le même travail que vous lui donniez avant
son accident?
R - Oui, c'était toujours...
Q - Toujours le même travail à faire?
R - Oui.
Q - Est-ce qu'il le faisait, ce travail-là?
R - Oui, il le faisait du mieux qu'il pouvait.
Q - Du mieux qu'il pouvait?
R - Oui.
Q - Vous dites là qu'il marchait, qu'il se tenait après les tables, il était
penché, je présume qu'il a des pièces à lever pour faire ce travail-là?
R - Oui, il y avait certaines pièces qu-'il fallait qu'il lève.
Q - Est-ce qu'il réussissait à faire ce travail-là?
R - Oui, bien moi, de temps en temps,
j'allais l'aider.
Q - Pourriez-vous nous décrire sa démarche, à l'époque, en mil neuf cent
quatre-vingt-quatorze (1994)?
R - Sa démarche, qu'est-ce que vous voulez dire?
Q - Quand il marchait, comment il se déplaçait d'une place à l'autre?
J'imagine qu'il ne se tenait pas après les tables toute la journée, là?
R - Non, on voyait qu'il avait de la misère à marcher, il faisait son
possible.
PAR M. JEAN GODBOUT: - (cont. lfint.) -
Q - Est-ce que je semblais avoir une colonne vertébrale de... (int.)
R - Non.
Q - Est-ce qu'il y avait des signes de boiterie?
R - Oui. Bien on en discutait, on disait arrête un peu là, repose-toi un
peu.
Q - Est-ce que, selon vous, j'avais d'affaire à être sur ces lieux de
travail à effectuer le genre de travail que je faisais?
LE PRÉSIDENT: - (intervenant) -
Je pense que ce n'est pas à ce témoin-là... lui, il va nous décrire l'état
que vous aviez à l'époque.
M. JEAN GODBOUT:
Parfait.
LE PRÉSIDENT:
Questions?
Me PHILIPPE PRERE:
Pas de questions, Monsieur le président.
LE PRÉSIDENT:
Questions? Questions? Merci, Monsieur Lacroix.
Prochain témoin.
M. JEAN GODBOUT:
Pierre Bouchard.
ET LE TÉMOIN NE DIT RIEN DE PLUS
_____________________________________
Je soussignée THÉRESE DE LAMARCHE, sténographe officielle, dûment
assermentée comme telle, certifie sous mon serment d'office que la
déposition qui précède est la transcription fidèle et exacte de mes notes,
recueillies au moyen de la sténotypie, et ce conformément à la loi.
ET J'AI SIGNÉ:
_____________________________________________
L'an mil neuf cent quatre-vingt-seize (1996), ce quatrième (4e) jour du mois
de juin, a comparu comme témoin en cette cause:
LOUIS E. ROY,
LEQUEL, après avoir donné une affirmation solennelle, dépose et dit ce qui
suit:
Q - Docteur Roy, le sept (7) mai mil neuf cent quatre-vingt- seize
(1996), dans cette salle, vous avez affirmé sous serment que vous n'aviez
pas fait enlever ma chemise, ni mes pantalons, mais par contre que vous
m'aviez fait enlever mes bas et mes souliers lors de l'examen.
Est-ce que vous reconfirmez aujourd'hui les mêmes...
R - Certainement.
INTERROGÉ PAR M. JEAN GODBOUT, pour la partie plaignante:
Q - Certainement. Merci beaucoup.
LE PRÉSIDENT:
C'est la seule question que vous aviez à poser.
M. JEAN GODBOUT:
C'est la seule question que j'ai à poser au Docteur Roy.
LE PRÉSIDENT:
Maître Frère?
Me PHILIPPE PRERE:
Pas de questions.
LE PRÉSIDENT:
Ça va? Merci.
ET LE TÉMOIN NE DIT RIEN DE PLUS
--------------------
Je, soussignée THÉRESE DE LAMARCHE, sténographe officielle, dûment
assermentée comme telle, certifie sous mon serment d'office que la
déposition qui précède est la transcription fidèle et exacte de mes notes,
recueillies au moyen de la sténotypie, et ce conformément à la loi.
ET J'AI SIGNÉ: steno cmq
------------------------------------------------------
Le Dr. Louis E. Roy affirme dans son expertise que je n'avais pas de déficit sensitif aux membres inférieurs.
Le ''HIC'' c'est que
l'examen du déficit sensitif se fait en passant une aiguille sur la peau !
Et comme il avoue qu'il ne m'a pas fait enlever mon pantalon ni ma chemise,
il n'a pas fait l'examen et il mentait et trichait encore !
Voilà un dessin fidèle
de ma colone vertébrale alors que je soulevais des poids de 75 à 125 livres,
du 14 mars 1994 au premier juin 1994
J'étais en blocage rachidien suite à une double
rupture discale en L4-L5 & L5-S1 avec compression des racines sacrées et une sciatalgie bilatérale.
Documents en référence :
M. Louis Tardif,
PDG de sa compagnie Performance L.T. Inc.
La norme
ISO Internationale 11228-1 concernant la charge maximale pour un
travailleur dans les meilleures conditions.
Le Dr. Marcel Morand physiatre qui
rapporte que je n'ai pas de déficits neurologique (à part la Lombo
Sciatalgie Bilatérale et j'étais en blocage
rachidien)
le 17 février 1994, donc quelques jours avant le retour forcé au travail du
14 mars 1994
La CSST demande au médecin du Bureau d'Évaluation Médical (BÉM) le Dr. Louis
E. Roy neurologue
à savoir si j'ai une
entorse
lombaire ou une entorse lombaire avec discarthrose personnelle.
La sciatalgie bilatérale est selon cette firme d'avocats spécialisée en
poursuite d'erreur médicales une
URGENCE chirurgicale alors que je soulevais des poids de 75 à 125 livres
pendant plus de deux mois. Ayoye !
Mon médecin traitant le Dr Réjean Vanier affirme dans cette lettre de
mise en garde de deux pages
que son premier diagnostique faisait état d'une sciatalgie bilatérale.
Page
1 &
page
2
Sciatalgie qui fut aussi ''oublié ainsi que la double hernie'' par Robert
Boulerice responsable de mon dossier à la CSST Laval.
La police de Laval est
totalement aveugle et corrompue.
Le comédien Columbo aurait fait mieux que le lieutenant-détective David
Tardif (matricule 855) et se son chef Pierre Brochet.
La police de Montréal est tout aussi
corompue. Elle ne reconnaît pas la Charte des Droits ni le droit à
l'inviolabilité de la personne à l'intégrité.
Le neurochirurgien Dr Robert Lefrançois confirme les deux ruptures discales
et la sciatalgie bilatérale :
page 1
& page
2.
Le protocole opératoire du Dr Robert Lefrançois neurochirurgien :
Page 1 &
page 2.
Définition légale des traitements cruels et
inhumains :
''aucun but spécifique, degré élevé de la souffrance ou de la douleur
infligée''
Source :
https://www.icrc.org/fr/doc/resources/documents/misc/69vhm2.htm
Dans
la guerre sans merci que se livrent la vérité et le mensonge, le mensonge
gagne la première bataille et la vérité la dernière !
________________________________________________________________________________________________
Voici comment, en résumé de deux pages, comment
le fonctionnaire Robert Boulerice m'a arnaqué en falsifiant mon diagnostique
médical;
La CSST reconnaît le diagnostique de mon médecin
traitant: ''d'entorse lombaire ainsi qu'une hernie discale au niveau L4-L5 &
L5-S1''
Puis Robert Boulerice fait ''disparaître la double hernie'' pour ne
conserver que l'entorse lombaire,
il avait déjà fait disparaître la sciatalgie bilatérale (page
1 & page 2) et le
feuillet
Ce fonctionnaire de la CSST est un magicien qui fait apparaître des choses
et disparaître d'autres !
Puis avec sa falsification, il demande au mercenaire médicale du BÉM à
savoir si j'ai une entorse lombaire ou une entorse lombaire ?
Le négligent complice Dr. Louis Edward Roy neurologue a conclut à une ''entorse
lombaire'' ... Vive le crime !
C'est ainsi que le bandit Robert Boulerice m'a retourné au travail avec un
blocage rachidien, une double hernie rupturé et une sciatalgie bilatérale
à soulever et manipuler des poids allant de 75 à 125 livres alors que je
devait être en
chirurgie d'urgence ! WOW !
«Le monde est dangereux. Pas tant à cause de ceux qui font le mal, qu’à cause de ceux qui regardent et laissent faire», disait Einstein.
Je l'admets, je plaide coupable, je dénonce un crime et je suis traité comme
un criminel par le bandit en chef du DPCP
le DANGEREUX complice criminel des fraudes de la
CSST-CNESST, le bandit Maître Patrick Michel,
directeur des poursuites criminelles et pénales du Québec.
En effet, ce complice criminel adore que la CSST-CNESST détruise des vies en
falsifiant des diagnostiques médicaux ! ATTENTION !
Lui il est DANGEREUX, il adore torturer et détruire des
vies par la fraude et la falsification de diagnostiques d'un fonctionnaire.
Il ne reconnait ni la Charte des droits de la personne, ni
le code criminel qui prévoit, à son article 265,
une infraction
pour voies de fait à l'égard de toute personne qui porte atteinte à
l'intégrité d'une autre personne sans son consentement.
Toute personne est inviolable et a droit à son intégrité.
Ayoye, tu m'fais mal
À mon coeur d'animal
Tu m'provoques des douleurs
Tu m'fais mal au coeur
(Gerry Boulet)
Le cabinet du ministre de la Santé, Christian Dubé, se dit préoccupé des circonstances.
«En tout temps, les Québécois doivent avoir accès à
des
soins de santés sécuritaires, écrit-on dans une lettre remise à TVA
Nouvelles.
Santé Québec est déjà en action pour accompagner l’organisation et éviter
des situations comme celle-ci.
Oh boy, le ministre Dubé en fume du bon !